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un monde d'oiseaux voyageurs

Photo du rédacteurLaHuppe

et des oiseaux parurent, sans nombre...


Quand Simorgh enlevant son voile, révéla son visage, tel l’éclatant soleil

Elle jeta sur la terre des ombres par milliers

Et des oiseaux parurent, sans nombre, à chaque souffle

Celui qui sait de qui il est l’ombre portée

Se trouve libéré, qu’il vive ou bien qu’il meure

Si tu n’a pas les yeux pour voir Simorgh

C’est que ton cœur n’est pas poli comme un miroir

Ce miroir, c’est le cœur, regarde dans ton cœur!

Peut-être y verras-tu enfin briller sa face

les murs de notre riad commencent à raconter son histoire ainsi que la quête de nos oiseaux voyageurs

merci à Mohamed CHERKAOUI


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