Quand Simorgh enlevant son voile, révéla son visage, tel l’éclatant soleil
Elle jeta sur la terre des ombres par milliers
Et des oiseaux parurent, sans nombre, à chaque souffle
Celui qui sait de qui il est l’ombre portée
Se trouve libéré, qu’il vive ou bien qu’il meure
Si tu n’a pas les yeux pour voir Simorgh
C’est que ton cœur n’est pas poli comme un miroir
Ce miroir, c’est le cœur, regarde dans ton cœur!
Peut-être y verras-tu enfin briller sa face
les murs de notre riad commencent à raconter son histoire ainsi que la quête de nos oiseaux voyageurs
merci à Mohamed CHERKAOUI